C’est un documentaire difficile à comprendre mais assez agréable à voir ; les choses qui semblent normales pour les Papous ne le sont pas pour nous : ils n’ont pas d’habits ils ont juste un tube pour cacher leur sexe. C’est dommage qu’il y a la voix OFF et donc que l’on ne voit pas le réalisateur. J’ai aimé la complicité des femmes, des hommes et des enfants. Mon œil a été attiré par l’intimité des choses. Au départ on est focalisé, étonné par l’opposition des premières scènes : dans la première scène le réalisateur marche près d’un métro parisien et dans la deuxième, on voit des pieds en contact direct avec la nature.