La critique de Rokia

Le documentaire est très intéressant car le film est composé à partir d’une voix intérieure, c’est le dernier voyage dans un pays (la Nouvelle-Guinée) ou le narrateur (l’ethnologue) qui se rendait régulièrement depuis longtemps et ou les circonstances l’empêcheront de revenir. La scène qui m’est restée en tête, qui m’a choquée c’est quand ils ont suspendu un enfant mort dans les branches. Normalement quand un enfant est mort on est sensé le mettre dans un cercueil, ensuite l’enterrer. Mais là on voit qu’ils ne vivent pas comme nous. Puis il nous explique pourquoi ils les accrochent dans un arbre. L’arbre dans lequel on accroche le paquet est le premier qui repousse après l’abandon des jardins, pour dire que ce qui nait vient de ce qui meurt. Et une fois que le corps va retomber, bientôt il se mélangera aux herbes et à la Terre. Et ils défricheront tout ça et continueront à cultiver des herbes. Tout cela vient de leur tradition, leur ethnie, donc on ne peut pas leur dire d’arrêter de faire comme ça car ils ne voient pas les choses du même œil que nous, pour eux c’est tous à fait normal. Là bas les hommes et les femmes travaillent autant. Même des enfants qui n’ont même pas fini de grandir ils travaillent à partir de 4 – 5ans environ. J’ai beaucoup aimé ce documentaire, car ça m’a permis de voir comment c’est dans certains pays.

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